Les lunettes LIGHT VISION détectent :
- la partie saine de la rétine :
Chaque œil est différent, et chaque perception l’est également. Les lunettes LIGHT VISION déterminent la zone de la rétine la plus performante et y restitue directement les images environnementales.
Un texte, un visage, un paysage, en intérieur comme en extérieur, les lunettes LIGHT VISION détectent la nature des objets observés et s’ajustent afin de faire ressortir les détails les plus importants. Les utilisateurs peuvent donc passer de manière transparente entre les activités, y compris celles qui seraient autrement inaccessibles en raison de leur basse vision, et ainsi gagner en autonomie.
Les lunettes LIGHT VISION affichent :
- les bonnes images au bon endroit :
Grâce à sa technologie de génération d’images, les lunettes LIGHT VISION sont capables en temps réel de projeter sur une partie optimale de l’œil les images environnementales traitées et adaptées à la perception de chaque malade.
- « en réalité augmentée » :
La réalité augmentée consiste en l'amélioration de la perception d'un environnement réel, par l'ajout ou la modification de détails, afin de le rendre plus pertinent.
Les lunettes LIGHT VISION aident :
- les personnes atteintes de dégénérescence maculaire liée à l'âge (ou DMLA)
La dégénérescence maculaire liée à l'âge (ou DMLA) est une maladie de la partie centrale de la rétine, appelée « macula », qui peut apparaître à partir de l'âge de 50 ans, et plus fréquemment à partir de 65 ans. Cette maladie provoque un affaiblissement important des capacités visuelles, sans toutefois les anéantir. bien que certaines dystrophies affectent les personnes plus jeunes, le terme se réfère toujours à la DMLA.
Il faut savoir que la DMLA représente la première cause de cécité au monde et la première cause de malvoyance dans les pays développés après 50 ans. elle concerne environ 12% de la population entre 55 et 65 ans pour atteindre de 20 à 30% de la population après 65 ans. Chaque année dans le monde, près de 500 000 nouveaux cas de DMLA sont diagnostiqués, et le nombre de personnes atteintes de pourrait augmenter de 50% d’ici 2030.
